ACM

ESPÉRER 95 & ACM :
un partenariat réussi

J'ai affaire à des équipes, à des gens et à des humains derrière ACM qui sont extrêmement à l'écoute. Et ça c'est le premier indicateur qui montre le succès.

La rencontre avec ACM

ESPÉRER 95 est une association implantée dans le Val-d’Oise depuis 1979. Elle accueille plus de 1500 personnes en situation de grande détresse, femmes victimes de violences, demandeurs d’asile, sans-abri, etc.

Dans le cadre de son activité, ESPÉRER 95 est confrontée à des problématiques liées au mobilier fourni aux personnes hébergées : résistance du matériel, nuisibles, manque d’uniformité du parc mobilier.

C’est à la recherche d’un fournisseur de mobilier que Mme DESAINTJEAN, gestionnaire des achats et comptable chez ESPÉRER 95, a découvert ACM. Dès les premiers échanges, elle est séduite par l’écoute, la connaissance du marché et la pluralité des produits proposés.

Un accompagnement sur-mesure

Nous avons accompagné ESPÉRER 95 dans la définition de ses besoins et dans le choix des produits les plus adaptés à ses exigences. Le catalogue fourni a été un outil précieux pour identifier les produits répondant à son cahier des charges.

Un partenariat réussi

La collaboration entre ESPÉRER 95 et ACM est un véritable succès. Mme DESAINTJEAN souligne la qualité du partenariat, basé sur l’écoute, la disponibilité, la réactivité et des valeurs communes.

Les produits fournis répondent parfaitement aux besoins de l’association et contribuent à améliorer le quotidien des salariés et des personnes hébergées.

Les points forts d'ACM

Mme DESAINTJEAN met en avant plusieurs points forts d’ACM :

  • La taille humaine de l’entreprise et sa dimension familiale
  • Des valeurs communes à celles d’ESPÉRER 95
  • La disponibilité, la réactivité et l’écoute

Le partenariat entre ESPÉRER 95 et ACM est un exemple concret de collaboration réussie. Ce partenariat permet à ESPÉRER 95 de remplir ses missions d’accueil et d’accompagnement des personnes en situation de grande détresse dans des conditions optimales.

Un grand merci à Mme DESAINTJEAN pour son témoignage.